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Mohamed Saïd à Annaba. «Nul ne peut tromper le peuple indéfiniment»

Publié le 04/04/2009

Intervenant, hier, lors d’un meeting électoral animé au théâtre Azzedine-Medjoubi, Mohand Saïd, candidat indépendant à la magistrature suprême, a particulièrement insisté sur la précarité sociale du pays, laquelle, selon l’orateur, a atteint un seuil intolérable et dangereux. Il mettra l’accent sur les responsabilités qui devraient être assumées par ceux qui sont à l’origine de ce marasme. «Ceux qui ont mené le pays à cette situation, soulignera-t-il, ne peuvent indéfiniment tromper le peuple, même s’ils sont toujours là pour lui promettre monts et merveilles lors de leur campagne électorale.»
Mohamed Saïd fera, dans le cadre des orientations économiques et politiques de son programme, l’apologie de l’avènement de l’énergie solaire, indiquant que celle-ci est «une richesse inépuisable dont dispose le pays qui doit impérativement amorcer, d’ores et déjà, l’après-pétrole». Il s’étalera longuement sur les avantages et les bienfaits en termes de retombées économiques et écologiques de cette énergie de substitution. Abordant le volet politico-idéologique de son programme, l’orateur reviendra sur les composantes de l’identité de la nation, menacées par la manipulation politicienne . «Les langues arabe et tamazight ainsi que la religion ne doivent pas servir des desseins pouvant conduire à la division et la fitna, mais être consolidés pour préserver l’unité et l’identité de la nation algérienne…»
Interpellé par un citoyen, lors du débat ouvert avec l’assistance, sur le rôle assigné aux responsables diplomatiques algériens à l’étranger, Mohamed Saïd a vivement critiqué «la défaillance de certains consulats, lesquels se fichent royalement de la dignité de nos compatriotes confrontés à des problèmes lorsque leurs droits sont ignorés par le pays d’accueil. C’est une honte quand la dignité de l’Algérie et celle de tout un peuple sont bafouées», martelèra-t-il.

Le Midi Libre > 04/04/09 > Rafraf Mohamed

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Les Commentaires

Jamais il n'a ete aussi facile de gouverner. Otrfois, il fallait chercher avc finesse pr kelle monnaie on devait marchander ls gens; ojrd'hui tt le monde veut de l'argent. Alphonse Karr
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