La préparation des repas pour les enfants des écoles primaires est - chose étrange- confiée aux femmes de ménage ou à des agents du filet social, et ce au mépris de toute règle d’hygiène.
Une enveloppe financière de 45 millions de dinars vient d’être octroyée au secteur de l’éducation à Annaba au titre d’une aide du ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales destinée à améliorer les repas offerts aux élèves des écoles primaires. Livrée en deux tranches, la première de l’ordre de 28 millions de dinars dégagée sur le compte du budget primitif de la wilaya de l’année 2012 et la seconde du budget complémentaire de la wilaya pour la même année avec 17 millions de dinars, cette aide qui n’est pas la première du genre, sera mise à profit pour booster les cantines scolaires en équipements nécessaires en vue d’en améliorer les prestations et les élargir à d’autres élèves qui en sont exclus.
Il faut souligner qu’un nombre important d’élèves des écoles primaires ne bénéficie pas encore de repas faute de structures de restauration, alors que d’autres se contentent de repas froids qu’ils prennent dans la cour et les salles de classe, en l’absence de conditions d’hygiène. C’est ce qui a été observé, principalement au niveau des écoles de la commune de Annaba où la préparation des repas, en l’absence de cuisiniers qualifiés, est confiée le plus souvent à des femmes de ménage ou à des employées du filet social.
Le déficit en personnel de métier dans certaines cantines scolaires est également constaté et se répercute sur la qualité des repas qui ne sont pas consistants d’où les doutes sur l’utilisation et la destination des subventions accordées dans ce cadre par les ministères de l’Education, la wilaya et les communes. Quelque 200 écoles, soit presque la majorité, disposent de cantines offrant des repas à 49 000 élèves sur un total de 56 803 répartis à travers les cinq daïras de la wilaya.
Les Commentaires
Maintenant on leur a ajouté, pour le même salaire une autre tâche celle de travailler également dans la cantine scolaire. Donc il y a deux budgets, celui du nettoyage de l'établissement et celui octroyer par le ministère de l'intérieur affecté à la cantine, Conclusion on a deux budgets pour une seule fonction à deux facettes. On est en droit de se poser la question où va le reste de l'argent ?
Deuxième aspect, c'est évidemment l'hygiène. Biensûr que ces deux rôles ne sont pas compatibles. Ou bien on est hommes ou femmes de ménages, ou bien on est carrément cuisinier ou auxiliaires de cantine. Mais les deux à la fois, en tout les cas dans ce cas précis, ne sont pas possibles. C'est comme si on demandait à un mécanicien, une fois qu'il aura terminé son travail de la journée, d'aller ensuite directement au bloc opératoire d'un hôpital pour opérer des patient qui l'attendent.
Maintenant pour résoudre ce problème de pénurie de personnel de cantine, qui a déjà assez duré, pourquoi ne lancerait-on pas un concours pour attirer des candidats parmis lesquels on sélectionnerait les plus aptes à suivre une formation de cuisinier. On a pourtant quelques excellents maîtres de l'art culinaire. Je pense par exemple à cet expert de la cuisine et aussi de l'hygiène, qu'on a suivit tout le long du mois du Ramadan sur Radio Annaba. Ce monsieur , à mon avis pourrait bien faire l'affaire en jouant le rôle de formateur de futures cuisiniers et cuisinières.
j'ai vu ce soir lille contre FCKobenhavn match UEFA au grand stade de villeneuve d'ascq score 2 à 0. un beau match et un beau stade. oui , c'est le conciege qui nous distribue le pain et des chocolats.on etait heureux. j'ai usé les fonds de mes culottes à l'ecole ben badis ex sadi carnot. voila ricra une autre info.c'est pour rire non ami!!!