Il a suffi qu’il pleuve toute une nuit pour que le tronçon menant de Bel Azur vers Ras El Hamra devienne impraticable. L’endroit s’est empli de boue et il aura fallu des hommes et des moyens pour que la situation reprenne son cours normal.
Dans cette zone, les inondations deviennent quasiment cycliques. Les mises en garde des autorités à l’endroit des «bâtisseurs», invités à contourner les situations aggravant les risques d’inondations ne semblent pas prises au sérieux par les entrepreneurs et autres auto-constructeurs qui ne se donnent pas la peine de dégager les déblais accumulés avec d’autres matériaux dans les différents chantiers et qui sont ainsi emportés par les eaux pluviales. Du côté de Bel azur, le volume de terre drainée par l’eau est d’autant plus considérable que la circulation a été acculée au ralenti.
Les Commentaires