Annaba: Saison estivale : Nettoyez le Cours, SVP !

Triste décor...il n'y a plus rien à dire.

La saison de tous les abus.

Je commence par citer air Algérie pour les tarifs qu’elle propose pendant la saison estivale. Un billet aller/retour paris Annaba qui frôle l’insupportable sur les budgets famille pendant les vacances d’été ! ! ! 700 euros pour obtenir ce sésame (Avec la même somme vous avez deux semaines de détente en Egypte) ou un aller retour en Australie). Cette compagnie essaye par tous les moyens de rentabiliser ses appareils pendant la saison sans se soucier de l’importance économique que la réduction de ces tarifs peut rapporté sur l’économie au pays . Cette politique mise en place chaque année n’est pas une solution d’avenir pour personne. Pour le moment, elle réussie très bien à la compagnie qui fait le plein de voyageurs mais pas pour la nation dans son ensemble. Elle prive les familles de se rendre au pays pour passer des moments avec les parents et mes amis. Elle prive les liens entre nos enfants et leurs cousin de se tisser pour permettre une continuité relationnelle des uns et des autres après les parents. Je propose à air Algérie de faire recours à l’affrètement des avions d’autres compagnies en maintenant les prix raisonnablement supportable pour les consommateurs que nous sommes. C’est a dire , permettre aux famille de continuer à aller au pays avec leurs enfants sans dommages pour leurs portefeuilles. les liens entre le pays d’origine et les pays d’accueils se poursuivront dans l’avenir. la compagnie y gagne en utilisant tout son matériel et son personnel. Elle fera de bonnes opérations en affrétant d’autres avions . Un aller retour paris Annaba à 350 euros, rapportera 200 euros par voyageurs supplémentaires à air Algérie et 150 par place affrétée aux autres compagnies. Il y aura plus de compatriotes pour voyager entres leurs lieux résidences et leurs pays d’origines. la consommation au niveau locale sera stimulée et générera de l’emploi dans tous les domaine . Cette solution aidera au développement local et à l’avenir de notre économie et pas seulement à air Algérie. La politique des tarifs , de cette compagnie est sectaire et nuit à l’économie nationale dans son ensemble. Si cette politique de tarifs est maintenue , elle amènera l’Algérie droit dans le mur .
Mon deuxième coup de gueule concerne l’arrivée du ramadan . les pouvoir public asseyent de mettre en place des marches de ventes direct entre producteurs et consommateurs sur les quartiers. Là aussi, je ne pense pas qu’il faille opposer les uns contre les autres dans ce domaine. Il faut juste créer un climat de confiance et procéder à des contrôle sérieux sur les marches. Il faut dire que temps que nos commerçant n’acquièrent pas le pli sur l’utilisation des facturiers . ils n’arriveront jamais à fait une bonne comptabilité . ils ne seront jamais honnête avec les consommateurs que nous sommes. Triste decor!!!!si rien ne se fait pour apporter une amelioration des choses.

"Proverbe arabe"

Qui veut tout comprendre finit par mourir de colère.

Èvidemment certains qui ne demanderaient pas mieux, ne se priveraient pas de montrer du doigt cette situation qui réconforte leur politique. Elle apporte à leur moulin les arguments et les prétextes qui, sans le cadeau de la négligence et du laisser-aller, ils ne pouvaient espérer.
Qu'attend la mairie pour établir un arrêté municipal qui empêcherait que la prostitution ne s'enracine sur le cours ? Cette arrêté donnerait aux services de l'ordre la possibilité d'intervenir plusieurs fois s'il le faut pour, sinon éradiquer le phénomène au moins l'éloigner des regards en l'installant un peu plus loin. Il me semble que cette fois-ci le seuil de tolérance est dépassé. Notamment quand il s'agit de choisir le cours de la révolution comme lieu de racolage. Il y a également les riverains du cours qui ne peuvent supporter encore longtemps cette situation. Les autorités doivent se prononcer sur ce problème et ne pas refuser de voir la réalité en se cachant la tête dans le sol comme le fait l'autruche.

"Info flash" a lire LIBERTE page 19 A.Allia (19/06/13).

Une décision du wali y supposée mettre terme, les plages livrées aux exploitants informels à Annaba...la loi des gros bras.

"Proverbe arabe"

Crois, si tu veux que les montagnes ont changé de place, mais ne crois pas que des hommes peuvent changer de caractère.

les pages sont devenues des zones de non droit. chaque saison les estivants souffrent un peu plus sans brancher