De nombreux prestataires, des fournisseurs et des entrepreneurs, entre autres, ont dénoncé les agissements à la limite de la légalité d’un fonctionnaire de l’état. Il exerce au niveau de la recette intercommunale de la daïra d’El-Hadjar.
On lui reproche notamment son penchant pour la bureaucratie et un abus de pouvoir extrême pour atteindre des objectifs personnels. Selon les plaignants, ce bureaucrate se donne le droit d’instaurer des règles qui n’existent nulle part sauf dans ses bureaux au moment même où des efforts sont consentis sur le terrain pour renouer la confiance du citoyen avec l’administration, en mettant à la disposition de ce dernier un service public qui répond à ses besoins et lui fait gagner du temps.
Ainsi des requêtes ont été adressées à sa tutelle, à savoir la direction régionale du Trésor public, ainsi qu’aux services de sécurité. Ils s’estiment victimes d’un harcèlement administratif, moral et financier. Selon les dénonciateurs, le mis en cause est connu sous le surnom de «Rabatteur», ne respectant pas les directives du gouvernement visant le rapprochement du citoyen de l’administration. Sa tactique ?
Il use de sa fonction pour que les paiements des prestataires aient suffisamment de retard, afin qu’il soit approché par les intéressés moyennant «bakchich» pour que leur factures soient réglées. «J’ai une facture issue d’une situation d’un marché communal.Cela fait plus de six mois que je cours derrière ce qui est appelé communément le « Rabatteur » avec l’espoir d’être réglé, mais en vain.
On m’a conseillé dans le milieu de recourir à une chippa pour espérer voir vos factures réglées», se plaint l’un des entrepreneurs ayant pris attache avec notre rédaction. Les services de sécurité exerçant territorialement dans la daïra d’El-Hadjar ont donc du pain sur la planche. Affaire à suivre…
lestrepublicain - 25 décembre 2013 - B. Salah-Eddine
De nombreux prestataires, des fournisseurs et des entrepreneurs, entre autres, ont dénoncé les agissements à la limite de la légalité d’un fonctionnaire de l’état. Il exerce au niveau de la recette intercommunale de la daïra d’El-Hadjar.
On lui reproche notamment son penchant pour la bureaucratie et un abus de pouvoir extrême pour atteindre des objectifs personnels. Selon les plaignants, ce bureaucrate se donne le droit d’instaurer des règles qui n’existent nulle part sauf dans ses bureaux au moment même où des efforts sont consentis sur le terrain pour renouer la confiance du citoyen avec l’administration, en mettant à la disposition de ce dernier un service public qui répond à ses besoins et lui fait gagner du temps.
Ainsi des requêtes ont été adressées à sa tutelle, à savoir la direction régionale du Trésor public, ainsi qu’aux services de sécurité. Ils s’estiment victimes d’un harcèlement administratif, moral et financier. Selon les dénonciateurs, le mis en cause est connu sous le surnom de «Rabatteur», ne respectant pas les directives du gouvernement visant le rapprochement du citoyen de l’administration. Sa tactique ?
Il use de sa fonction pour que les paiements des prestataires aient suffisamment de retard, afin qu’il soit approché par les intéressés moyennant «bakchich» pour que leur factures soient réglées. «J’ai une facture issue d’une situation d’un marché communal.Cela fait plus de six mois que je cours derrière ce qui est appelé communément le « Rabatteur » avec l’espoir d’être réglé, mais en vain.
On m’a conseillé dans le milieu de recourir à une chippa pour espérer voir vos factures réglées», se plaint l’un des entrepreneurs ayant pris attache avec notre rédaction. Les services de sécurité exerçant territorialement dans la daïra d’El-Hadjar ont donc du pain sur la planche. Affaire à suivre…
B. Salah-Eddine
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De nombreux prestataires, des fournisseurs et des entrepreneurs, entre autres, ont dénoncé les agissements à la limite de la légalité d’un fonctionnaire de l’état. Il exerce au niveau de la recette intercommunale de la daïra d’El-Hadjar.
On lui reproche notamment son penchant pour la bureaucratie et un abus de pouvoir extrême pour atteindre des objectifs personnels. Selon les plaignants, ce bureaucrate se donne le droit d’instaurer des règles qui n’existent nulle part sauf dans ses bureaux au moment même où des efforts sont consentis sur le terrain pour renouer la confiance du citoyen avec l’administration, en mettant à la disposition de ce dernier un service public qui répond à ses besoins et lui fait gagner du temps.
Ainsi des requêtes ont été adressées à sa tutelle, à savoir la direction régionale du Trésor public, ainsi qu’aux services de sécurité. Ils s’estiment victimes d’un harcèlement administratif, moral et financier. Selon les dénonciateurs, le mis en cause est connu sous le surnom de «Rabatteur», ne respectant pas les directives du gouvernement visant le rapprochement du citoyen de l’administration. Sa tactique ?
Il use de sa fonction pour que les paiements des prestataires aient suffisamment de retard, afin qu’il soit approché par les intéressés moyennant «bakchich» pour que leur factures soient réglées. «J’ai une facture issue d’une situation d’un marché communal.Cela fait plus de six mois que je cours derrière ce qui est appelé communément le « Rabatteur » avec l’espoir d’être réglé, mais en vain.
On m’a conseillé dans le milieu de recourir à une chippa pour espérer voir vos factures réglées», se plaint l’un des entrepreneurs ayant pris attache avec notre rédaction. Les services de sécurité exerçant territorialement dans la daïra d’El-Hadjar ont donc du pain sur la planche. Affaire à suivre…
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