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Annaba: AVENUE DE L’ALN - A quand un véritable plan de circulation ?

Publié le 02/02/2014
Aux heures de pointe emprunter l’avenue de l’ALN depuis le rond-point de Sidi-Brahim jusqu’à la gare SNTF relève de tout un parcours du combattant pour les automobilistes comme pour les conducteurs de bus. Sans aucune exagération, rallier ces deux points de la ville d’Annaba nécessite au bas mot presque une demi-heure. La cause de ce temps immensément long ? Une circulation monstre due à un nombre impressionnant de véhicules, certes, mais aussi et surtout les travaux de l’ouvrage d’art censé relier les RN16 et 44 au centre-ville qui perdurent, malgré l’ouverture d’un axe reliant Seybouse (ex-Jouannotville) à la voie express qui mène directement au port. Certes, depuis cette facilitation d’accès au centre-ville, l’encombrement se fait moins ressentir mais perdure toujours cependant. « Pour emprunter l’avenue de l’ALN, il faut attendre le vendredi, commente ce chauffeur de taxi.
Durant cette journée, en effet, la route est pratiquement vide et en moins de deux minutes, on se retrouve à la gare. Mais durant la semaine, il faut s’armer de patience et, franchement, nos nerfs commencent à en prendre un coup ». Toutefois, il suffit de remarquer de long en large comment se déroule un trajet entre Sidi-Brahim et la gare et vice-versa. Ce ne sont que coups de klaxons et surtout conduite des plus anarchiques, selon le bon vouloir de certains automobilistes qui n’hésitent pas parfois à dépasser sur la voie la plus à gauche, c’est-à-dire en sens inverse. La présence d’agents de police n’arrange rien non plus puisqu’avec certains d’entre eux, l’attente se ferait plus longue selon quelques automobilistes rencontrés sur place. Difficile également, de ne pas évoquer ces autobus d’un autre âge, qui sortent de la station Kouche-Noureddine, lesquels constituent la bête noire de nombreux automobilistes, faisant fi des règles élémentaires du code de la route en matière de priorité. Certains usagers d’ailleurs, souhaiteraient que soit débattu au niveau de l’APC un nouveau plan de circulation permettant de désengorger un peu cet axe stratégique de la Coquette. D’autres se montrent plutôt pessimistes pour l’avenir avec le début des travaux du tramway lequel suscite toujours un grand débat auprès de la population.

lestrepublicain.com - 02 février 2014 -Lakhdar Habib
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Les Commentaires

"Jungle Jim"

Pagaille organisée!, vivement le tramway!.
Les fabricants de voitures doivent dorénavant construire les véhicules déstnés à l'Algérie, avec des échasses à la place des roues. Comme ca, pour sotir d'affaire, il suffit tout simplement d'enjamber les autres.
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