Annaba. Du soleil pour l’Est républicain

L’Est républicain est à sa 7e année d’existence. Comme le dit si bien le poète : « Il poursuit son bonhomme de chemin en cultivant la fleur de l’âge, pour revenir chaque fois avec un peu plus de beau ramage. »

Toujours de plus en plus nombreux, ses lecteurs ont le sentiment que l’Est républicain, leur journal au quotidien, devient, au fil des ans, une belle plante sous un soleil toujours radieux. Rien n’échappe à la plume de ses journalistes et de ses collaborateurs pour informer, alerter, dénoncer, sensibiliser toutes les situations qu’elles soient bonnes ou mauvaises. Des quartiers fastueux aux cités populaires, du vieux port à l’aéroport Rabah Bitat, des immensités des villes, villages, localités et agglomérations y compris celles du lointain désert du sud-est, tout passe à la loupe sur ses 24 pages. Sept années durant lesquelles l’Est républicain a éclaté en mille symboles de rigueur, de sérieux et de professionnalisme. Comment s’étonner, dès lors, que ses lecteurs lui expriment tant d’amour pour un quotidien porteur d’avenir. Journal indépendant, L’Est républicain a existé ; il existe depuis sept années avec ses joies, ses fiertés et l’ardeur des sentiments de ceux qui l’animent. Il est très proche aussi des préoccupations du moment des habitants de toutes les wilayas de l’Est et du pays. Oui, l’Est républicain existe. Il est envié, parfois même décrié, à cause de son atypie qui marie des journalistes à l’expérience bien établie comme Omar Touati, Chaouki Mechakra, Mourad Nini à une pépinière de jeunes loups et louves. Toute une richesse de plumes toujours acérées qui mérite d’être connue dans sa diversité. Sept années fêtées comme il se doit par ceux qui le vivent au quotidien. Toute une période qui leur a permis de prendre conscience de leur vocation de journal d’information. 24 pages pour rapporter la peine des hommes et les heures claires qui font la vie de chaque jour. L’Est républicain s’est toujours employé à mieux familiariser ses lecteurs avec la société, leur environnement, les sites, la culture, le sport. Il est proche de tous les citoyens quels que soient le niveau social, l’âge et le sexe. Proche aussi des responsables et des associations représentatives de la société civile qu’il sollicite à chaque fois pour donner leur avis sur la marche de leur journal, de leur région, du pays. Dans leur labeur quotidien, administrateurs, rédaction, journalistes, collaborateurs, techniciens hommes et femmes de peine n’ont pas oublié qu’ils sèment aussi pour les générations futures. Alors vive l’Est républicain toujours haut en couleur qui prépare déjà l’année prochaine, les autres années, l’autre siècle.

El watan > 15/04/07 > A. Djabali