Il n’y avait pas d’officiels, ni de députés encore moins une cérémonie pour celui qui avait tout abandonné pour l’Algérie. Durant 20 ans, jour pour jour, à 11h42, quelques humbles hommes se recueillaient fidèlement sur le lieu même où, à la même heure, avait été assassiné le regretté Mohamed Boudiaf, un des révolutionnaires de la première heure pour l’indépendance du pays et président du Haut Comité d’Etat (HCE). Comme d’habitude, il n’y avait pas d’officiels, ni de députés encore moins une cérémonie pour celui qui avait tout abandonné pour l’Algérie. Il y avait, par conséquent, Me Hchaïchia Hmaïda, Me Khaldi...
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