Cheïkh Abdelhamid Khemmar, une des figures du malouf annabi, a été honoré mercredi dernier au palais des arts et de la culture Mohamed Boudiaf, lors d’une soirée artistique riche en couleur, au grand bonheur des mélomanes, car ce genre musical est toujours en vogue dans la ville du jujube, malgré les influences manifestes du raï, des chansons orientales, du chaâbi et du rap. Cet hommage consacre un parcours professionnel éloquent de cet artiste, qui a appris les ABC de la musique andalouse par son père Ahcène Khemmar, surnommé H’Sen Guelbi, qui a formé des « maloujis », qui excellent aujourd’hui...
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