Il ne s’agit nullement ici du sinistre Amari Saifi, alias «Abderazak le para », mais d’un véritable gangster digne d’un yakuza, repris de justice notoire et que personne de la population de Sidi Salem, dans la daïra d’El-Bouni, n’ose regarder dans les yeux. C’est un coriace, dit-on. D’ailleurs, condamné par contumace à 20 ans de réclusion criminelle pour plusieurs griefs, dont le trafic de stupéfiants et constitution d’association de malfaiteurs, le «para », âgé de 47 ans, objet d’un mandat d’arrêt depuis plus d’une année, n’a même pas pensé à prendre la fuite. Mieux encore, il a ouvert une mahchacha...
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