Autrefois, appelé Souk-El-Had (marché du dimanche) où est née une des premières figures de la résistance contre l’occupation française, durant les années 1830, en l’occurrence cheikh Zeghdoud, puis Ain-Mokra, sous l’occupation française, et Berrahal à l’indépendance, est une ville sale et mérite amplement le Caracalla d’or en matière d’insalubrité, et ce, en raison surtout de la passivité et la fuite en avant de la force publique censée protéger l’environnement, les biens et les personnes. A la veille de l’Aïd, la ville ressemble, le moins que l’on puisse dire, à un dépotoir sauvage ou s’accumulent, le charbon, le foin et autres...
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