C’est par cette expression « I love my town », combien significative, que M. Merabet, président de l’APC a débuté notre entretien inopiné alors que nous nous rendions vers un quartier totalement déshérité, « Banie El Askar » ou « cité militaire », dans le besoin d’aménagements urgents. Ce que regrette le maire, c’est que chaque municipalité sortante ne soit pas contrainte par la législation à établir un état des lieux au moment de la passation des consignes, qui n’a, d’ailleurs, pas eu lieu car, l’état de la ville, est dans une situation déplorable. C’est pourquoi les premières actions ont...
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