Annaba la Coquette, qui s’était débarrassée durant les années 1980 des cités fantômes, à l’exemple de celle de « Bouhamra » où des milliers de baraques donnaient un aspect de désolation et de misère, souffre aujourd’hui de nouveau, mais cette fois-ci dans le domaine de l’habitat illicite, un phénomène qui semble être incurable. L’avènement du « printemps arabe », qui a secoué de nombreux pays, dont nos voisins, est pour beaucoup dans la réapparition des constructions illicites en dur, qui ceinturent aujourd’hui l’antique « Bouna », autour des zones urbaines. Plaie ouverte depuis, les constructions illégales qui sont essentiellement localisées...
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